Difference between revisions of "Recherche Libre"

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A ceci répond un effort civil d'influence et de coopération technologique, de la part de ceux qui se trouvent économiquement privés d'accès direct au savoir par l'industrie commerciale de la connaissance. La réponse à cela est la pleine ouverture à tous de l'interligence des savoirs. Ceci conduit à une remise en cause de principe de l'économie commerciale de la distribution de la connaissance à des consommateurs que l'on "anime" parfois à travers des "participations" bénévoles à la recherche.  
 
A ceci répond un effort civil d'influence et de coopération technologique, de la part de ceux qui se trouvent économiquement privés d'accès direct au savoir par l'industrie commerciale de la connaissance. La réponse à cela est la pleine ouverture à tous de l'interligence des savoirs. Ceci conduit à une remise en cause de principe de l'économie commerciale de la distribution de la connaissance à des consommateurs que l'on "anime" parfois à travers des "participations" bénévoles à la recherche.  
  
Cette remise en cause visera à ne considérer que des "clients chercheurs" à travers la mise en transparence multidisciplinaire des recherches publiques (université), privées (industrie) et Libre (société civile). Ainsi, le donnant-donnant travaux/conclusions (brevets) de la coopération université/industrie s'étendra au Libre (licence CeCILL).
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Cette remise en cause visera à ne considérer que des "clients chercheurs" à travers la mise en transparence multidisciplinaire des recherches publiques (université), privées (industrie) et Libre (société civile). Ainsi, le donnant-donnant travaux/conclusions (brevets) de la coopération université/industrie s'étendra à la Libre Recherche et à sa production de Libre Savoir (licence CeCILL).
  
 
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Revision as of 09:52, 22 August 2018


Les nouvelles institutions mondiales s'auto-apprennent dans le cadre du forum de la gouvernance de l'internet, autour du concept de gouvernance multipartite entre le domaine public, la société civile, le secteur privé et les institutions internationales. Le vécu de ce forum montre qu'une cinquième partie prenante est constamment présente et souvent décisionnellement première : c'est celle de la technologie et par là la Recherche qui par sa double nature universitaire et privée déséquilibre le processus législatif et normatif (Droit, standardisation, international) au détriment de la société civile.

A ceci répond un effort civil d'influence et de coopération technologique, de la part de ceux qui se trouvent économiquement privés d'accès direct au savoir par l'industrie commerciale de la connaissance. La réponse à cela est la pleine ouverture à tous de l'interligence des savoirs. Ceci conduit à une remise en cause de principe de l'économie commerciale de la distribution de la connaissance à des consommateurs que l'on "anime" parfois à travers des "participations" bénévoles à la recherche.

Cette remise en cause visera à ne considérer que des "clients chercheurs" à travers la mise en transparence multidisciplinaire des recherches publiques (université), privées (industrie) et Libre (société civile). Ainsi, le donnant-donnant travaux/conclusions (brevets) de la coopération université/industrie s'étendra à la Libre Recherche et à sa production de Libre Savoir (licence CeCILL).